Une veillée tout en saynètes
Publié le 1 Février 2012
Une veillée tout en saynètes, le 6 janvier, jour de l’épiphanie, par les groupes de caté.
Il y a 2000 ans, naissance de Jésus, fragile… visite des bergers, les « oubliés » de l’époque et de ces curieux venus de loin, qui sont nos « ancêtres » : les mages.
Aujourd’hui… une saynète parmi d’autres… Sébastien se promène avec Julie et Anne.
Sébastien voit une crèche dans une boutique. Le jeune homme, provocateur, jouant les blasés, déclare :
- Jésus, une belle histoire pour enfant sage… De nos jours, seule la force paye !!!
Les deux filles lui tombent sur le dos. Julie le regarde, elle ne dit rien puis, elle rétorque :
- Mais tu n’as rien compris. Chaque fois que j’ai essayé de vivre comme lui, j’ai vu la joie fleurir autour de moi.
Quant à Anne, elle lui sort la phrase de l’Abbé Pierre qu’elle a toujours en tête et qui la fait vivre :
- Un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais il éclaire tout autant.
Que de livres aujourd’hui sur Jésus, le Jésus historique, ou le Jésus de l’évangile qui les fait vivre. Le dernier en date, celui de Franz Olivier Giesbert, directeur du « Point » : « Dieu, ma mère et moi ».
Rappel du titre provocateur de Frédéric Lenoir dans Le monde des religions :
« La chrétienté est morte, vive l’évangile »
Les groupes de caté